Caf : sécurité et sérénité sont l’affaire de tous

Vie personnelle

La plupart du temps, les échanges entre les et les agents des Caf se déroulent sans le moindre incident. En cette période de crise sanitaire, les salariés de la Caf vous écoutent et vous accompagnent. Les agents sont à pied d’œuvre pour assurer le bon versement des prestations. Dans ce contexte, nous pouvons tous manquer de patience, voire faire preuve d’agressivité. 


Dans l’intérêt de chacun, nous rappelons qu’aucune agression physique ou verbale n’est tolérée envers les conseillers qui assurent de leur mieux la qualité de service, ou à l’égard d’autres allocataires. 


Pour prévenir ces situations d’incivilités et garantir la sécurité de tous, les Caf ont déployé un ensemble de mesures concrètes : sécurisation des lieux d’accueils, suivi attentionné des allocataires, simplification des procédures, accompagnement numérique... 


En vertu de la loi, tout acte de violence envers des agents chargés d’une mission de service public dans l’exercice de leurs fonctions constitue un délit passible de poursuites judiciaires. Que ce soit par téléphone, dans les accueils ou lors d’un contrôle, injures, insultes, violences ou menaces envers le personnel. 


Suivant la gravité des faits, un allocataire à l’origine d’incivilité peut se voir refuser l’accès aux accueils de la Caf pendant une période déterminée et être contraint d’utiliser d’autres modes de contacts (courriers ou email). Les Caf peuvent également porter plainte auprès du procureur de la République. Dans ce cas, les sanctions peuvent aller de l’amende (de 7 500 à 150 000 euros) à une peine de prison ferme.