Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) : toujours engagée
La Caf de Loire-Atlantique agit quotidiennement en entreprise responsable et s’implique largement dans la vie économique, sociale et associative locale. Elle décline la stratégie de la branche famille en termes de transition écologique et reste attentive à la qualité de vie au travail et à la sécurisation des changements.

Plan d'actions RSE
La Caf de Loire-Atlantique poursuit un plan d'actions ambitieux, en tant qu'employeur socialement engagé et responsable, organisé autour de 5 axes.
- Renforcer la gouvernance responsable
- Intégrer la RSE dans les projets et les référentiels de compétence
- Mentionner la RSE et les objectifs développement durable dans les communications
- Présenter le bilan RSE au conseil d’administration et au comité social économique
- Organiser des journées à thème selon l’actualité (développement durable, qualité de vie au travail, mobilité...)
- Porter notre responsabilité sociale
- Négocier et mettre en œuvre l’accord relatif à l’égalité professionnelle des femmes et des hommes et à la promotion de la diversité
- Formaliser et mettre en œuvre le plan d’actions relatif à la politique handicap locale
- Continuer le déploiement du télétravail
- Formaliser et mettre en œuvre le plan d’actions relatif à la qualité de vie au travail
- Développer la culture numérique par la formation
- Réduire notre impact environnemental
- Réaliser un bilan d’émission des gaz à effet de serre (GES) avec un plan d’actions
- Renouveler avec des véhicules propres (émission de GES < à 110g/km) la flotte automobile vieillissante
- Mettre en œuvre le plan mobilité (garage à vélo, achat d’un vélo à assistance électrique (VAE) pour les déplacements professionnels, réunions en visioconférence...) et l’introduire dans la négociation annuelle sur la qualité de vie au travail
- Optimiser l’exploitation des bâtiments et le traitement des déchets
- Intégrer les enjeux RSE dans la stratégie et le processus d’achat
- Élaborer les cahiers des charges en termes de performances ou d’exigences fonctionnelles pour susciter des offres portant sur l’usage d’un bien plutôt que sur son acquisition (économie de fonctionnalité)
- Optimiser la gestion du parc d’impressions locales dans le cadre du marché national
- Prendre en compte, chaque fois que cela est possible, le coût global des produits et des services comprenant les coûts liés à l’acquisition, à l’utilisation et les frais de maintenance (main d’œuvre, pièces détachées) ; les coûts liés à la fin de vie (coût de collecte, de recyclage et d’élimination)
- Prévoir un critère social en combinaison de la clause pour la sélection des offres
- Faciliter l’accès des TPE/PME à la commande publique
- Développer notre implication sociale dans les territoires
- Conduire des diagnostics territoriaux d’expression des besoins et associer les parties prenantes à la démarche (du diagnostic à la réalisation des projets), dans le cadre de conventions territoriales globales (CTG)
- Développer des partenariats locaux entre les organismes de Sécurité sociale (évènements communs : Odysséa, etc.)
- Accompagner nos usagers dans la transformation numérique
Égalité salariale femmes-hommes
Chaque année, un index de de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes est calculé pour chaque Caf. Sous la forme d’une note sur 100, cet index se compose de cinq critères qui évaluent les inégalités entre femmes et hommes dans les entreprises :
- rémunérations totales ;
- augmentations perçues dans l’année (points de compétences, part variable) ;
- promotions (seulement les parcours) ;
- augmentation au retour de congés maternité ;
- parité dans les dirigeants (nombre de femmes et d’hommes dans les dix plus hautes rémunérations).
Le programme de la branche famille traduit de façon automatique ces indicateurs et permet le calcul du résultat de chaque Caf. L’objectif est d’identifier et corriger les écarts entre les femmes et les hommes en matière de rémunération et d’évolution professionnelle.
En 2024, la Caf de Loire-Atlantique obtient la note de 89 sur 100. Cet index global est décliné par indicateurs :
- l’écart de rémunération entre les femmes et les hommes (39/40 points) ;
- l’écart d’augmentations individuelles (10/20 points) ;
- l’écart de promotions (15/15 points) ;
- les augmentations au retour de congé maternité (15/15 points) ;
- la parité parmi les plus hautes rémunérations de l’entreprise (10/10 points).